A tous les amateurs de musique, à tous les lecteurs du livre et à tous ceux qui ne l'ont pas encore lu, cet article est destiné à vous projeter dans le roman.
Laissez-vous porter par les notes et aller à voyager entre les lignes !
Je commence par le morceau qui, de mon point de vue d'auteur, est celui qui nous transporte le plus à la rêverie, au voyage et à la mélancolie. Celui de Chiara, bien entendu, qui le découvre loin de sa Sicile natale, et qui ne la quittera plus lorsqu'elle éprouvera le mal du pays, ou de son ami. Il s'agit d'un morceau de piano extraordinaire, composé par Frédéric Chopin, "Tristesse, op.10". Je vous laisse le découvrir ici..
Restons avec Chopin pour une petite mazurka plus gaie, comme il savait les composer, et qui, dans le roman, est une de celles jouée par les enfants de don Giuseppe.
Enfin, je termine avec la présentation de quelques compositeurs étrangers, tout de même ! En premier lieu Niccolo Paganini, cité dans les premiers chapitres, qui est un virtuose du violon. Ensuite, Richard Wagner, dont le Tannahäuser est représenté à l'opéra Le Pelletier.
Et parce qu'on ne peut s'empêcher de s'imaginer un été sicilien brûlant, à l'atmosphère aussi pesante qu'en ce printemps 1860, écoutez ce morceau des Quatre saisons de Vivaldi..."l'Eté".